C’était très important pour moi de faire quelque chose avec des militantes d’horizons et d’âges aussi différents. Nous les lesbiennes sommes de toutes les luttes (féminisme, anti-racisme, etc.,), et pourtant les personnes qui les portent sont rarement solidaires de nos combats. Alors il faut qu’on écrive nous-même notre histoire, pour ne plus être la caution, la note de bas de page. Dans Jeanne Magazine, Suzette Robichon, explique pourquoi elle s’est impliquée dans la LIG.